Une signature de l’appel des coquelicots qui fait du bruit

17 septembre 2020 - Laure Hänggi 

Alors qu’elle recevait, le 15 septembre, les porteurs de la pétition « Nous voulons des coquelicots », qui a reçu plus d’un million de signatures, la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a elle-même signé le document, qui défend l’interdiction des pesticides de synthèse. « Je partage l’appel du mouvements des coquelicots. Pour cela, nous devons avant tout concentrer nos efforts sur la recherche et le déploiement rapide d’alternatives, afin de pouvoir nous passer à terme des pesticides de synthèse », a-t-elle ainsi commenté sur Twitter. La ministre avait portée, en 2016, en tant que secrétaire d’Etat à la biodiversité, la loi interdisant les néonicotinoïdes.

0 commentaires sur “Une signature de l’appel des coquelicots qui fait du bruit

  1. Bravo Barbara,mais…..,comment pouvoir lui faire confiance , ,quand on constate son inconstance flagrante ! ( retour des néonicotinoîdes suite à la pression betteravière ! ).
    Pourtant,c’était vraiment l’occasion de montrer l’intérêt pour un autre type de pratiques agraires différentes et plus soutenables car plus durables .
    Nous ne pouvons pas lui faire confiance car nos références s’appuient sur l’action de terrain et non sur l’estrade .

  2. Bravo Barbara,mais…..,comment pouvoir lui faire confiance , ,quand on constate son inconstance flagrante ! ( retour des néonicotinoîdes suite à la pression betteravière ! ).
    Pourtant,c’était vraiment l’occasion de montrer l’intérêt pour un autre type de pratiques agraires différentes et plus soutenables car plus durables .
    Nous ne pouvons pas lui faire confiance car nos références s’appuient sur l’action de terrain et non sur l’estrade .

  3. Si l’interdiction des pesticides est utopique, l’adoption de bonnes pratiques d’usage des produits pesticides est indispensable : Des réductions dans l’usage des pesticides sont possibles en résorbant les inefficacités des exploitations et la réduction des intrants phytosanitaires est une mesure de prévention primaire de la filière horticole et arboricole avec adoption d’alternatives à certains traitements (Protection Biologique Intégrée, auxiliaires vivants de culture et phéromones spécifiques de confusion sexuelle …) : https://www.officiel-prevention.com/dossier/protections-collectives-organisation-ergonomie/risque-chimique-2/la-prevention-des-risques-professionnels-des-pesticides

  4. Si l’interdiction des pesticides est utopique, l’adoption de bonnes pratiques d’usage des produits pesticides est indispensable : Des réductions dans l’usage des pesticides sont possibles en résorbant les inefficacités des exploitations et la réduction des intrants phytosanitaires est une mesure de prévention primaire de la filière horticole et arboricole avec adoption d’alternatives à certains traitements (Protection Biologique Intégrée, auxiliaires vivants de culture et phéromones spécifiques de confusion sexuelle …) : https://www.officiel-prevention.com/dossier/protections-collectives-organisation-ergonomie/risque-chimique-2/la-prevention-des-risques-professionnels-des-pesticides

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