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Les pesticides ne sont pas réservés aux cultures agricoles ! C'est ce que vient souligner l'étude Pesti'Home, menée par l'Anses et consacrée aux usages de pesticides « domestiques », utilisés par les ménages. Trois quarts d'entre eux ont recours à ce type de produits, en particulier aux herbicides.
Alors que l’agriculture est pointée du doigt sur le dossier des pesticides, et que les démarches consistant à chercher des molécules phytosanitaires dans les cheveux ou les urines se multiplient, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) publie une étude dédiée aux pesticides « domestiques », Pesti’Home. Ce travail, dévoilé le 7 octobre, apporte de nouveaux éléments de réflexion sur l’exposition des citoyens à ces substances chimiques.
L’Anses a sondé plus de 1500 ménages, et recensé chez ces derniers pas moins de… 5400 produits. Au total, ce sont 75 % des Français interrogés qui affirment avoir utilisé au moins un de ces pesticides domestiques dans l’année qui a précédé l’enquête, menée en 2014. Les produits les plus utilisés sont les insecticides (par 84 % des ménages), qu’ils agissent contre les insectes volants, rampants ou les parasites des animaux de compagnie. Viennent ensuite les herbicides (22 %) et les produits contre les maladies des plantes d’extérieur (20 %) et les répulsifs cutanés humains, notamment contre les moustiques (12 %).
Pour limiter les risques liés à ces produits, pour les citoyens, l’Anses émet deux préconisations : mieux informer sur les conditions d’utilisation et les modalités d’élimination des produits, et mieux évaluer les expositions et les risques liés aux usages de pesticides à domicile.
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Voir aussi ce dessin de presse réalisé il y a quelques temps, sur le même sujet:
https://sylvain-pongi.blogspot.com/2018/03/glyphosate.html
Le premier d’entre eux est le Fronteline dont la matière active est celle du Gaucho. Imaginez quand vos enfants vont faire des papouille à votre animal de compagnie qui promène un insecticide interdit depuis plusieurs années chez les professionnels.
N’importe quoi.
C’est l’imidaclopride dans le gaucho.
Et il est interdit depuis le 1er septembre 2018 pour tout usage.
Pour les 25% qui déclarent ne pas utiliser de pesticides. C’est probablement pour beaucoup faute de ne pas savoir ce qu’est un pesticide. Définition :Un pesticide est une substance utilisée pour lutter contre des organismes considérés comme nuisibles. C’est un terme générique qui rassemble les insecticides, les fongicides, les herbicides, les parasiticides. (raticides, traitement des bois, anti poux….)
Bizarrement, Elise Lucet e parle pas de cette analyse, peux être à t’elle omis…. de manière volontaire car il est tellement facile de descendre et enfoncer les 15% de la population qui essaient de subsister en produisant pour les autre, sachant qu’elle trouveras l’appuie des 75% restant qui sont des moutons qui n’y connaissent rien,
Vous avez oublié de preciser que tout le monde mange des produits importés d Espagne, Belgique et autrs qui n ont pas les mêmes contraintes phitosanitaire. Donc toutes ces recherches dans les cheveux sont faussés.
Il faut juste que les gens changent leurs habitudes liées à ces produits. Il existe beaucoup d’alternatives naturelles pour éloigner les moustiques, lutter contre les puces…
Donc oui les français sont obstinés et mal renseignés.
Mais il y a aussi d’autres alternatives pour produire en agriculture sans produits chimiques.
Il faut aussi que le gouvernement soit moins bêtes en la matière.
Et aussi on peut évoquer le destop qui est en vente libre
et si on y croit on dois ll faire comprendre